Elle était chats, haiku, origami. Elle était surtout d’une imagination et d’une créativité incroyable. A l’époque où je la côtoyais, au sein de l’association, elle gagnait concours de nouvelles sur concours de nouvelles, tant son écriture était ciselée. Elle était d’une douceur réconfortante et d’une gentillesse rare. A laquelle s’alliait une modestie qui est la caractéristique des grands hommes, ou femmes. Joëlle Ginou-Duvivier va me manquer. Va nous manquer.
VD.
